Depuis l’Antiquité, le roux a été étiqueté comme hypocrite
et la rousse comme nymphomane. Au Moyen-Âge, pour faire la fête, c’était la
coutume de brûler une sorcière, de préférence rousse.
Évidemment, dans ces conditions, les roux/rousses avaient
plutôt tendance à marcher la tête basse, ce qui ne favorisait pas leur
multiplication.
Mais heureusement, aujourd’hui les choses ont changé. Des
analyses d’ADN ont démontré qu’il y avait autant de sorcières blondes et brunes
que rousses. Il est donc défendu de les brûler, car cela mettrait en danger, vu
leur nombre, l’avenir de l’humanité.
Il n’en demeure pas moins que les femmes ne tripent pas
beaucoup pour les roux. C’est d’ailleurs pour cette raison que les banques de
sperme au Danemark refusent les donneurs roux. En revanche, les hommes capotent
pour les rousses, probablement à cause de leur réputation de nymphomane. Donc,
les rousses sont assurées d’un bel avenir, mais les roux ont toujours la vie
dure.
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